Assurer la sécurité incendie de son entreprise avec des dispositifs de prévention est une bonne solution. La loi exige que les chefs d’établissement veillent à la protection des personnes et des biens. Découvrez quelques équipements qui sont utilisés pour prévenir et maîtriser le feu.

Par exemple, les alarmes sont placées à divers endroits des bâtiments pour qu’elles puissent retentir en cas de flammes. Pour une meilleure sécurité, des entreprises optent pour des détecteurs de fumée. En cas d’urgence, ils émettent un son pour prévenir le personnel. Pour finir, comment ne pas vous parler de l’extincteur, le meilleur dispositif pour empêcher qu’un incendie se produise.

Les divers dispositifs de prévention

La surveillance humaine est un secteur qui attire les hommes comme les femmes. Que ce soit dans les petits commerces ou les entreprises, les agents de sécurité sont souvent recrutés pour veiller à la protection des personnes. Qu’en est-il des musées ? Ces professionnels sont chargés de contrôler les accès et fouiller les sacs. Ils sont aussi à l’intérieur du musée pour accompagner les visiteurs. En plus, d'être formés pour identifier et prévenir les actes malveillants, ils peuvent aussi dispenser les gestes de premiers secours aux blessés et aux victimes.

Des agents de prévention dans les musées

Renouveler sa carte professionnelle d’agent de surveillance et de sécurité est indispensable pour continuer à exercer au-delà de 5 ans. Le CNAPS (Conseil National des Activités Privées de Sécurité) exige de l’agent de sécurité qu’il suive un stage de maintien et actualisation des compétences (MAC) afin de renouveler la carte. Comment faire ? Il faut s’y prendre au moins 3 mois avant la date de fin de validité de la carte. Toutefois, le stage MAC doit être effectué durant les 24 mois précédant l’échéance. D’ailleurs, cela ne concerne pas uniquement les agents de surveillance, mais aussi ceux de gardiennage, de vidéoprotection ou de transports de fonds. Le candidat obtient ainsi une attestation qui lui permet d’effectuer une demande de renouvellement.

Ce qu’il faut savoir pour renouveler sa carte pro d’agent de sécurité

En quoi consiste le métier des agents de sûreté ferroviaire ? Assurer la sécurité dans ces zones nécessite du sang-froid, de la rigueur ainsi qu’un sens de l’observation. Ces agents sont affectés à la surveillance et la protection des biens et des personnes ou du personnel autour de la gare ainsi que dans les trains. Travaillant 24 sur 24, les agents sont aussi chargés d’effectuer des missions de gardiennage vis-à-vis du matériel et des équipements ferroviaires. L’agent de sûreté est habilité à interpeller les comportements suspects et à rassurer les voyageurs.

Les fonctions de l’agent de sécurité ferroviaire

Les métiers sont nombreux dans le secteur de la sûreté aéroportuaire et aérienne. Effectuant des activités individuelles ou en équipe, les différents agents ont tous la même mission ; veiller à la sécurité des voyageurs et passagers ainsi que du personnel présents à l’intérieur comme à l’extérieur des zones aéroportuaires.

Tout commence par l’agent de sécurité aéroportuaire. Celui-ci est chargé de repérer tous les comportements suspects et de filtrer les effets des passagers ainsi que tous les bagages qui iront en soute. Il veille également à filtrer les identités et les accès aux zones restrictives. Cet agent occupe un poste fixe et doit avoir le sens de l’observation, être méticuleux et rigoureux.

Les différents postes de la sécurité dans les aéroports 

L’agent d’exploitation de sûreté aéroportuaire exerce ses missions du côté des pistes. Il filtre les allées et venues à l’aide des appareils informatiques. C’est lui qui est en mesure d’accorder l’accès à ces zones. Il régule aussi le flux de passagers et effectue des missions de surveillance et de vérification de la cabine. Pour exercer, le candidat doit suivre une formation spécialisée nommée CQP ASA (Certification de Qualification Professionnelle d’Agent de sûreté aéroportuaire).

Il est d’ailleurs possible d’évoluer et de prétendre aux postes à responsabilités. C’est notamment le cas du coordinateur qui se charge du déroulement des opérations en liaison directe avec le chef d’équipe. Le superviseur est quant à lui responsable de la planification des opérations de filtrage. C’est lui qui encadre les chefs d’équipe.